Descente d'une partie de la rivière Charente en 1923

Bonjour . Je vais mettre les pages d'un manuscrit que je possède sur l'aventure menée par deux hommes en 1923  . J'ai ce manuscrit car le canadien qui a servit pour cette descente , appartenait à ma famille .

Demain , je mettrais la suite . A bientôt

Génial. Merci beaucoup de partager ça avec nous.

Bonjour . Voilà la page 2 :  

Voilà la page 3 :  

Voilà la page 4 :

re . La suite demain . A Bientôt

Les conseils des riverains ou pêcheurs sont souvent faux ou trompeurs.

Bonjour . Aujourd'hui  la page 5

Il serait intéressant de comparer le manuscrit au guide du Canoéiste TCF de la Charente.

Page 6

Page 7 :

Page 8  

Page 9 :  

Re page 10 ;    

Re page 11 :  

Re page 12 et Fin du Raid :

Bonjour . J'espère que cette Aventure et ce récit vous a plu . Bon pas toujours facile à lire mais en tout cas c'est un beau document que je vous ai fait partager. Voilà
A bientôt

Bonjour . Je suis un peu surpris de ce manque d'intérêt pour ce sujet qui me semblait très beau et surtout qui allait très bien pour ce Forum . Bon je vais finir par croire que les gens n'aiment pas lire .
Dommage . C'était juste un petit reproche .

Merci beaucoup pour ce document qui a l'air très intéressant. Je le lirai complètement sur un ordinateur, c'est un peu difficile avec le téléphone.
Ne t'inquiète pas du peu de lectures immédiates. Ce forum ne reçoit pas que des échanges instantanés, il est aussi fait pour accueillir des documents précieux à regarder quand on a le temps.

C'est une descente assez précoce car la grande découverte des rivières de France en Canoë c'est les années trente.

Dans le livre à propos de la plaisance de Loire, l'auteur remarque que de très nombreux voyageurs se lancent dans leurs croisières en plein mois d'Août ou bien entre mi juillet et mi septembre, choisissant ainsi presque à coup sûr de manquer d'eau. Aussi une bonne partie des relations de voyages consiste en une plainte constante envers le faible débit, les portages et les échouages.
J'ai retrouvé récemment cette même attitude dans deux récits de descentes du Cher dans des forums. En consultant les débits sur les relevés des stations locales à la date de ces randonnées, j'ai vu qu'un de ces randonneurs avait attaqué sa descente avec un débit d'à peine plus d'un mètre cube seconde !!

Les auteurs de notre ami Beaudet ne font pas exception !
Je me rapelle moi même avoir beaucoup transporté inutilement mon kayak sur le toit de la voiture et protesté devant des rivières à sec quand j'étais obligé de partir en vacance en Août.

La Charente dans sa partie navigable a toujours de l'eau, verte et immobile. Elle a encore un peu du charme dont ces voyageurs font état. Mais lors d'une rando il y a déjà plus de quinze ans,  j'avais été surpris par la très forte privatisation des berges. De nombreux enclos de pêcheurs avec cabane et barbecue, bâtis sans autorisation probablement mais toujours très défendus, laissent une impression plutôt désagréable.

Ce texte a beaucoup d'autres intérêts que le récit du manque d'eau : l'état des moulins, les lâchers d'eau, ou la description des paysages pourrait intéresser des historiens. Pour se mettre dans l'esprit de l'époque, accompagner la lecture d'une recherche d'image "10 Unic Torpedo 4 places".